La réponse n’est malheureusement pas claire à ce jour. La menace de voir disparaître la prise en charge actuelle de la prévoyance est réelle. Le Snec-CFTC demande un engagement fort.
Les représentants du Snec-CFTC ont rencontré Florence Machefer, secrétaire générale du CNEAP à propos de la fin programmée de la prévoyance pour les enseignants de droit public des établissements agricoles privés. (Le Snec-CFTC vous explique la situation).
Mme Machefer nous a informé que le CNEAP était favorable à la prolongation de l’accord actuel jusqu’en décembre 2026 pour laisser le temps à la négociation. C’est la position également défendue par le Snec-CFTC.
Mais un délai pour faire quoi ?
Le Snec-CFTC a redit son attachement à la prise en charge partagée de la prévoyance par les enseignants et par les établissements. Cet acquis vieux de 50 ans ne peut être remis en cause sans fragiliser encore plus le lien entre les enseignants et les établissements. Les enseignants ne peuvent pas rester seuls devant les plus graves aléas de la vie, les longues maladies, l’invalidité, le décès…
Le CNEAP ne confirme pas à ce jour son engagement aux côtés des enseignants.
Le Snec-CFTC demande au CNEAP :
Le Snec-CFTC incite les enseignants à se rapprocher de leur chef d’établissement pour dire l’importance de la prévoyance.
Le Snec-CFTC conseille aux représentants du personnel de poser cette question lors des prochains CSE.
N’attendons pas la fin de négociation pour nous mobiliser, sinon il sera trop tard !
La prévoyance actuelle coûte entre 50 et 100 euros par an à chaque enseignant selon son niveau de rémunération. Pour maintenir le même niveau de garantie, si le CNEAP se désengage, le coût pour l’enseignant sera multiplié par 7 !
Pour toute question : agricole@snec-cftc.fr
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